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Nous vous souhaitons de très bonnes fêtes !
Brigitte Bornemann
Isabelle de Broglie
Christopher Longmore
Paul Gass
HAYLE - (Royaume Uni ) - 21/12/2011 - mer-veille-MRE - Par Francis Rousseau -
La prise en charge gouvernementale du Wave Hub via le Department for Business Innovation and Skills (BIS) aura lieu a partir du 1 janvier 2012. Le projet Wave Hub développé au large des côtes de Cornouailles a pour but de permettre aux industriels de tester de nouvelles formes de technologies d'énergies des vagues. En prenant le Wave Hub sous son giron, le gouvernement britannique montre une fois plus, sa détermination à ériger les énergies renouvelables marines, en source d'approvisionnement énergétique d'avenir du pays. Même si le Wave HUb devait être cédé à une société privée dans le futur il acquiert, par cette prise en charge, le statu de bien public. Le symbole est assez fort pour ne pas passer inaperçu dans le monde des énergies renouvelables.
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LONDRES (Royaume-Uni) - 02/12/2011 - Mer-Veille-MRE -
Par Francis Rousseau
Il y maintenant presque deux ans, au début de l'année 2010, le Gouvernement britannique et The Crown Estate rendaient public le programme de leur 3e (et dernier ?) appel d'offre éolien offshore : le Round 3. Appelé à satisfaire à lui tout seul le quart de la demande britannique d'électricité, avec 32 GW installés d'ici 2020, cet ambitieux programme est apparu, dès son annonce, comme le programme de la démesure, forçant l'industrie éolienne offshore à passer de l'ère des mega parcs à l'ère des giga parcs éoliens en mer. Dans les 9 zones du Round 3 désignées par le Crown Estate, seuls deux parcs seront inférieurs à 1 GW de capacité. Un parc à lui tout seul (Dogger Bank 9 GW) sera supérieur d'une fois et demie aux capacités cumulées des deux appels d'offres éoliens français offshore d'ici 2020 (6 GW) ! Deux ans après les sélections du Crown Estate, alors que la course à la fabrication de turbines de puissance supérieure à 6 MW vient d'être définitivement lancée, que les premiers contrats vont être bientôt signés avec les équipementiers et sous-traitants, que les premiers travaux de construction vont commencer en mer, voici un point aussi complet que possible sur un projet considéré comme un des plus grands défis que l'industrie européenne (et britannique en particulier) ait jamais eu à relever. Un défi dont certains disent déjà que, quelle qu'en soit l'issue, il bouleversera durablement les façons d'agir, de travailler et sans aucun doute de penser les énergies marines jusqu'au rapport au milieu marin…
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Par Francis Rousseau
La conférence Offshore 2011 organisée par l'EWEA qui se tient à Amsterdam jusqu'au 1er décembre 2011 a commencé à produire son lot de révélations et d'annonces. Ainsi AREVA Wind Gmbh, filiale à 100% du groupe, a confirmé une information donnée par les Echos le 28/11//2011 (ICI) et Reuters selon laquelle le groupe vient de remporter deux contrats en Allemagne pour la livraison de turbines éoliennes, tout en précisant que le financement de l'opération n'était pas encore arrêté et que la signature du contrat était sous condition de financement du côté acheteur. Selon Les Echos et Reuters, le potentiel de ces deux contrats porterait sur la livraison de 120 turbines Areva M500 de 5 MW et sur un montant de 1,2 milliard d'euros. AREVA Wind Gmbh a aussi présenté une nouvelle évolution de sa M5000, dont les atouts principaux sont un diamètre du rotor de 135 mètres (permettant un accroissement des performances de 35%) et la redondance des systèmes de surveillance. La production en série de ce nouveau modèle devrait commencer au second semestre 2014, les pales du rotor étant fabriquées par AREVA Blades Gmbh.
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Par Francis Rousseau
Alors qu'en août dernier la compagnie écossaise Aquamarine Power s'apprêtait à investir $100.000 en Oregon pour étudier la possibilité d'un développement aux Etats-Unis de l'énergie de vagues, via son récupérateur houlomoteur Oyster, et claironnait même fièrement sur son blog( ICI) "here today, Oregon tomorrow" (Aujourd'hui ici, demain en Oregon), une soudaine volte-face est venue perturber cet élan. En effet, la compagnie a annoncé voici peu qu'elle "fermait son bureau à Newport au moins pour le moment". Une seule personne est employée dans ce bureau, mais cette fermeture dissimule mal un malaise plus profond entre les développeurs d'énergies marines et les autorités américaines chargées de règuler l'accès à l'océan. Les sempiternelles tergiversations des autorités américaines en matière de permis accordés pour l'exploitation des énergies marines (qui touchent surtout dans ce cas les industriels non-américains) et la lenteur des procédures administratives mises en place empêchent d'avoir une vision à long terme d'un plan de développement cohérent. Est-ce cet ensemble de données qui a persuadé Aquamarine Power de renoncer à l'Oregon ? Renoncer à l'Oregon signifie-t-il pour autant renoncer aux Etats-Unis ?
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Le développeur hollandais de solutions d'ancrage extra-côtier et de flotteurs, Bluewater Energy, leader sur son segment, qui s'enorgueillit d'une expérience de plus de 30 ans dans le domaine pétrolier et gazier, travaille depuis plusieurs années sur une solution flottante de support d'hydroliennes. Cette solution innovante, baptisée Bluetec, pourrait permettre une installation et un entretien plus aisés des hydroliennes dans l'océan ce qui entraînerait une réduction importante des coûts d'exploitation. Réduction évidemment répercutable sur le coût final de production de l'énergie hydrolienne, une des grandes préoccupations de l'avenir. La solution Bluetec vient d'être mise en test à l'EMEC (European Marine Energy Centre) la semaine dernière, avant sa commercialisation éventuelle.
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UPPSALA - (Suède) - 18/11/2011 - 3B Conseils-Mer-Veille-MRE -
Par Francis Rousseau
Suite à l'évaluation faite par l'U.E. dans le cadre du 6e plan programme IP/06/1600, la Commission Européenne a pris la décision le 9/11/ 2011 de soutenir le Sotenäs Project finlando-suédois, déjà approuvé par l'Agence Suédoise de l'Energie. Le Sotenäs Project, qui vise à construire rien de moins que le plus grand parc houlomoteur du monde, se fera en plusieurs étapes, grâce à la présence de deux acteurs incontournables : l'équipementier suédois Seabased qui fournira les dispositifs houlomoteurs et l'industriel finlandais Fortum, par ailleurs très engagé dans divers programmes nucléaires. Devant les risques financiers de ce projet encore au stade de la R&D, la Commission Européenne a octroyé une aide de €15 millions à Seabased pour mettre en place une installation de démonstration houlomotrice.
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Par Francis Rousseau -
La difficulté avec l'électricité produite par l'éolien offshore et les énergies renouvelables en général ne réside pas tant dans sa production que dans son stockage. Or on ne sait pas stocker l'électricité, sauf à la transformer en autre chose, du gaz comprimé ou de l'hydrogène généralement. Une fois franchi l'obstacle de la transformation, reste celui du mode et du lieu de stockage. Et là, de grandes capacités peuvent s'avérer nécessaires. Le géant allemand de l'énergie E.on vient de rendre public un plan concernant la construction d'une usine-pilote qui transformera l'électricité produite par l'énergie éolienne offshore en hydrogène, avant de stocker cet hydrogène dans les canalisations du réseau de gaz allemand. Cette usine, d'un montant de €5 millions, doit entrer en fonction dès 2013.
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